Lorsque Nietsczhe écrit « Zarathoustra », il introduit le concept du surhomme, dans une société en plein bouleversements. Dans le « gai savoir » il fait dans l’aphorisme 24 un portrait de l’Europe vu sous l’angle de sa souffrance personnelle. L’exactitude en est troublante. L’actuelle situation de cette Europe, est complètement collée à sa vision, à part le fait qu’en Europe, aucun intellectuel, et aucun politique ne le voit, tellement tous sont pris dans l'effet de mode capitalistique, dont ils n’analysent plus l’effet plus que pervers.
Le problème posé par le philosophe n’est pas la question du surhomme, mais bien plutôt celui de la pensée Européenne toute entière. C’est notre propos de tenter de la rendre audible et proche de notre quotidienneté, de façon poétique et respectueuse, dans le poème "Arrobas".