Alceste et jeanne, une chronique quercynoise, en répétition publique.
Il s'agit toujours d'une prise de risque, aussi bien de la part des acteurs que des spectateurs, que du metteur en scène. L'invasion d'un autre regard met en danger l'intimité du travail. Mais aussi rassure sur celui accomplit, et "ouvre" vers celui encore à parcourir pour atteindre l'objectif de la représentation.
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Le WE du 21 et 22 mai, nous ouvrons les portes de l'Agrithéâtre à quelques personnes. Portes ouvertes, cela veut dire que vous pouvez entrer et sortir pendant la répétition, rester un moment à regarder le travail se faire, sortir boire un café, ou un verre suivant l'heure, discuter au soleil, et entrer à nouveau dans la salle noire où se fait ce "travail" que l'on connait mal. Il va sans dire que la discrétion est de rigueur lorsque vous entrez ou sortez. Un exercice pour nous de concentration , et pour vous de pratique de la liberté du voyeur qu'est le spectateur !
Que représente t on de l'être au théâtre ?
Le spectacle n'est pas aboutit mais certains moments sont là. A vous de déguster ces moments.