D'un champs, l'autre
D'un camps, l'autre
D'une limite, un pointillé, un trait tiré
Un possible de l'année se déchire
A tout nos adhérents, nos sympathisants, nos partcipants l'Agrithéâtre souhaite une année pleine de bonnes choses,
y compris l'espoir, mais permettez moi encore de douter toujours de tout, c'est ce qui fait ma force encore.
D’aucun disent qu’il faut voir aussi ce qui ne se voit pas, toutes ces actions qui fabriquent des petits mondes, des micros collectivités, des alternatives au continu, des fissures aux murs, des cisailles à barbelés. Je vois aussi ces choses, mais je ne fait pas l’Autruche. Encore faut il œuvrer sans relâche, solitaires et différents, tisser ce qui nous tient encore, ce qui nous réunit. Avec nos impressions, nos intuitions, et un calme absolu, comme le silence.
Mais restons près les uns des autres. L'époque nous y convie.
Et laissons les hommes providentiels se déchirer de leurs insignifiances.
Soyons vertueux.